On dit que les semaines se suivent mais ne se ressemblent pas : « Mon oeil, ouais… »! La semaine dernière était merdique et celle-là l’est encore plus. Alors, par où je commence ?

 

Par les microbes que mon fils m’a refilés et que je traîne depuis 10 jours peut-être…

 

Il faut savoir que je tousse et que je me fais remonter les bretelles par l’homme qui me demande d’arrêter de fumer : « Non, mais sans blague, quand mon fils tousse, il ne lui demande pas d’arrêter de fumer, non? Je tousse parce que je suis malade.

 

Lundi soir, j’ai eu très, très mal aux dents (enfin, je devrais dire plus que d’habitude car le dentiste, depuis des semaines que je lui parle de mes douleurs, me soutient que ce sont des résidus d’aliments qui s’insèrent entre ma dent et ma gencive) : bref, ce fut une horreur !

 

Du coup, le lendemain matin, je me pointe en urgence chez lui avant d’aller travailler car je suis enflée du côté de la douleur et là, après avoir fait une radio, il m’annonce que la dent est cassée sous la couronne et qu’il faut l’arracher ! Aaaaahhh, ouais, c’était pas des aliments alors …..

 

 

Bien sûr, il ne peut pas le faire tout de suite car je suis trop infectée. Donc antibiotiques ! J’espère que cette prise d’antibiotiques soignera aussi le rhume car je suis à plat !

 

Le mercredi, j’ai pû constater que ce qu’on appelle communément un bouton de fièvre s’étalait avantageusement sur ma lèvre alors que je prends un traitement homéopathique tous les mois pour parer à cette éventualité. Et ça continue gaiement….

 

Jeudi, alors que je respire mal, que j’ai le visage et la bouche enflés, et que je suis aussi pâle qu’un cadavre, mon chef me remet l’évaluation de l’année me concernant !

 

Apparemment, son opinion à mon égard est loin d’être à mon avantage : je suis présente chaque jour que Dieu fait, je fais mon boulot du mieux que je peux, je suis même là, à moitié mourante, mais je me fais tout de même descendre en flèche !

 

 

Bin, tu sais quoi ? ça va être dur aujourd’hui de te dire « Chic , on va parler chaussures ! ».

 

Je suis fatiguée, moche, dégoutée de la vie : l’aigle impérial a laissé place à une pauvre palombe ! Tu sais ces pauv’oiseaux que l’on attrape dans de grands filets verticaux et qui se débattent comme de beaux diables. En vain….(j’espère que l’image est suffisamment parlante… )

 

 

Tout ça pour dire que l’on parlera chaussures la semaine prochaine, OK?

 

 

 

 

 

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