Il n’y a pas longtemps (ben la semaine dernière en fait…), je t’ai parlé de mon coup de foudre pour cette cape !

 

A force de tourner et virer sur Etsy, de faire la conversion des pouces en cm, de peser le pour et le contre,  je suis tombée sur deux autres capes rouges aussi désirables l’une que l’autre…

 

Et là, une question se pose à moi ???

 

Développerais-je le complexe du « chaperon rouge »???

 

 

Serait-ce un désir non dissimulé de retour à une jeunesse perdue ( Vieillir, c’est une vaste fumisterie! On veut te faire croire plein de c*******s mais vieillir, ce n’est ni plus, ni moins qu’une lente décrépitude sans espoir de retour mais je m’égare là….)

 

 

Peut-être que je cherche (dans mon subconscient en tout cas…) à rencontrer le grand méchant loup afin de me faire dévorer toute crue ( tendance sado-maso ?? ) ?

 

Ou bien le loup serait une représentation du masculin haï par les femmes phalliques (Voir plus bas !) ???

NAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !

 

 

En même temps, si cette version s’avérait, je serais bonne pour l’internement, moi !

 

 

Si quelqu’un peut m’expliquer le pourquoi et le comment de cet engouement, qu’il parle tout de suite ou se taise à jamais…

 

 

Et si on arrêtait de tout analyser ???

Et si je voulais juste une cape rouge hein ???

 

 

Voici donc une autre cape vintage Pendleton !

 

 

Et pour finir, celle-ci avec des plumes…

Je suis béate, sans voix, tétanisée, pieds et poings liés : elle a une capuche en plus….( cf. plus haut)

 

 

Maintenant que tu as toutes les cartes en main, tu choisirais laquelle toi ???

 

 

Je fais un sondage !

 

 

Cape Pendleton n°1 :     6   voix

 

 

Cape Pendleton n°2 :     1    voix

 

 

Cape plumes :        5 + 3  voix (Déborah a fait voter son ami et ses animaux, ça compte ou pas???) . 

Source Wikipédia : 

Selon Bruno Bettelheim, auteur de la Psychanalyse des contes de fées, le Petit Chaperon rouge symboliserait le personnage de la petite fille aux portes de la puberté, le choix de la couleur rouge du chaperon renvoyant au cycle menstruel.

Le village et la maison de la grand-mère sont des endroits sûrs, chemin entre l’enfance et l’âge adulte. Pour arriver à destination, il faut emprunter un chemin qui traverse une forêt, lieu de danger où rôde le Grand méchant loup. La mère indique à la fille le chemin à suivre, le « droit chemin ». La fillette a une attitude ambiguë, puisque, faisant mine de se débarrasser du Loup, elle lui donne en réalité toutes les indications pour que celui-ci trouve la grand-mère, et la mange… Arrivée à destination, la fillette voit bien que quelque chose ne va pas, (« Que vous avez de grandes dents ») mais… finit dans le lit du Loup. Le Loup  est ici la figure du prédateur sexuel.

  Ouais, ben, c’est pas moi qui l’dis hein ……

Cet article est paru en avant-première chez « So busy girls » !