La découverte d’un lieu de villégiature est vécue différemment suivant les individus : il y a ceux qui s’en tiennent aux sites touristiques et qui se « selfisent » à tour de bras (ce n’est pas peu dire…), ceux qui ne sortent pas de leur hôtel, le dit-hôtel leur offrant déjà un large panel d’activités diverses et variées (même si l’hôtel en question est situé dans un lieu très exotique : « Alors, c’était comment tes vacances? Super, je n’ai pas quitté l’hôtel ! »), les baroudeurs qui vivent chez l’habitant, mangent local, vivent local, pensent local et puis, il y a ceux, plus raisonnables, qui veulent connaître les produits locaux, les bonnes adresses, sortir des sentiers battus, sans pour autant virer candidats à Koh Lanta .

Je crois avoir toujours fait partie de cette dernière catégorie. Je recherche d’abord et avant tout l’authenticité, loin de la foule des touristes, même si ce n’est pas toujours évident, quand on ne connaît pas l’endroit. Aussi, j’ai vraiment adoré le projet qui m’a été proposé par le groupe Wyndham Hotel Group et le Dolce Frégate Provence en particulier, à savoir organiser un circuit découverte d’une demi-journée, pour les vacanciers résidant à l’hôtel de St.Cyr sur mer, en tentant de le faire d’une manière différente, et surtout avec les yeux d’un autochtone et l’autochtone, présentement, ce fut moi ou devrais-je plutôt dire, ce fut nous ! En effet, sur ce coup-là, ce fut surtout un travail d’équipe, l’équipe étant l’homme et moi-même !

Vous savez ce que l’on dit, c’est souvent le cordonnier, le plus mal chaussé ! Ce n’est donc pas forcément, celui qui vit sur place, le nez dans le guidon, qui connait forcément le mieux le coin. D’autant plus, lorsqu’il s’agit d’un secteur bien particulier et donc limité. J’ai donc du procéder à un appel aux bonnes volontés pour recueillir des idées auxquelles, je n’aurais pas forcément songé toute seule. D’ailleurs, j’en profite pour les remercier tous et toutes (les bonnes volontés), d’avoir eu la patience de me supporter, alors que je les harcelais, jour après jour.

Mais, me direz-vous, le Dolce Frégate Provence, késako? Pour le savoir, il suffit de te reporter à l’article racontant mon mini-séjour dans ce lieu d’exception.