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Une vie de rêve, c’est quoi pour toi?

Nous sommes tous en quête de la vie parfaite qui saurait satisfaire nos désirs de bonheur, d’équilibre, de sécurité, de job idéal, d’amour. Parce que s’il y a quelque chose que l’on sait faire, c’est placer  la barre bien haute et là, pas de doute, elle est très, très haute. Pourtant, nous n’avons pas tous les mêmes aspirations. Je dirais même qu’elles divergent totalement d’une personne à l’autre, alors, je te pose la question, c’est quoi, ta vie rêvée?

 

Le travail, c’est la santé : mon oeil !

J’ai longtemps pensé que le travail devait faire partie de mon équilibre de vie, mais ça, c’était avant, quand j’étais jeune et idéaliste et que je n’avais pas toutes ces années de labeur derrière moi. Aujourd’hui, le travail, c’est juste une façon de gagner ma vie (vu que je ne suis ni rentière, ni héritière), mais j’ai arrêté de penser que je pouvais être heureuse et épanouie dans le travail (et crois-moi, chaque jour qui passe me conforte dans cette idée). Il est vrai que certains le sont, notamment ceux qui ont vraiment choisi leur travail ou qui sont leur propre patron, mais combien peuvent vraiment dire qu’ils font le travail qu’ils ont toujours voulu faire ?  Levez le bras que je vous compte !
Aujourd’hui, j’ai accepté qu’il en soit ainsi, faute d’avoir l’énergie et l’âge de me lancer sur une autre voie. Le monde du travail, c’est beaucoup d’injustices et d’inégalités. Si l’on ne veut pas finir aigri et somatiser comme je l’ai fait (voir juste en dessous), vaut mieux l’accepter. Depuis que je me suis fait une raison, je suis beaucoup plus sereine (pas sûr que l’homme partage mon opinion, car parfois, mon mal-être déborde largement sur mes proches au lieu de s’exprimer au travail).
Et puis, tout étant question de priorités dans la vie, disons que le travail n’est plus la mienne : je fais juste ce que j’ai à faire !

Le travail sur soi : une nécessité !

Depuis plusieurs années, je fais un travail sur moi-même et ça, c’était une priorité. J’ai suivi une psychothérapie, des séances d’hypnose, pris des traitements naturels à base de plantes, j’ai lu des livres de développement personnel et regardé des conférences TED, j’ai même lu le livre de Marie Kondo, qui n’est pas un livre de développement personnel, mais dont la méthode, est sensée nous rendre plus heureux (j’ai donc rangé et trié dans ma maison) et puis, j’ai fait de l’exercice sous forme de marches dans la nature (ou pas). Je me suis lancée dans la méditation de pleine conscience et je me suis protégée, autant que faire se peut, de toutes les ondes négatives (les infos, les personnes néfastes, certains films ou livres, etc…). Alors, certes, je ne suis pas devenue la version féminine du dalaï lama, loin s’en faut, mais j’ai ressenti malgré tout un réel bénéfice. D’ailleurs, toutes ces mesures m’ont permis de lutter efficacement contre la spasmophilie. Spasmophilie qui, même si elle n’est jamais vraiment éradiquée, est bien en mode pause depuis plusieurs mois.

Revoir ses exigences à la baisse.

J’ai cessé de courir après des chimères (faut bien que je me rende à l’évidence : j’ai très peu de chances de gagner à l’euro-million !) et je tente donc de me contenter de ce que j’ai, moi, l’éternelle insatisfaite : ça, c’est la théorie! En vrai, c’est beaucoup plus compliqué que cela, car chassez le naturel, il revient au galop : je me surprends donc parfois, à aspirer à PLUS, même si je me soigne.
Et pourtant, non, je n’aurais pas la maison de mes rêves, ni une carrière éblouissante, ma famille n’est pas parfaite non plus, mais je suis moi-même loin de la perfection, je le reconnais volontiers et je ne corresponds sans doute pas à l’épouse ou à la mère idéale pour les membres de ma famille non plus. Alors, j’essaie de me concentrer sur les qualités de mes proches plutôt que sur leurs défauts et je croise les doigts pour qu’ils fassent de même pour moi. Revoir ses exigences à la baisse, c’est donc accepter de ne pas avoir une vie parfaite (Adieu la pression!) et donc de se recentrer sur ce qui peut vraiment nous rendre heureux, tout en gardant à l’esprit, que ce qui ME rendra heureuse sera différent de ce qui TE rendra heureuse.

Vivre dans le présent et savourer les petites joies de l’existence.

J’aime manger, marcher, photographier, être auprès des miens, bloguer, regarder des séries, lire, rester chez moi…. Tous ces petits plaisirs qui ne coûtent rien ou presque sont importants et même vitaux pour moi (et pas seulement manger ^^). Ils participent à mon équilibre, m’accompagnent et me font aimer la vie, malgré les aléas…car, bien sûr, aléas, il y aura toujours : des petits comme des grands ! La vie est ainsi faite (dit celle qui stresse à la moindre contrariété) !

Le bonheur, à portée de mains…

En conclusion, le bonheur est là, tout proche, faut juste sortir la tête du guidon pour en prendre conscience et en profiter (Va falloir que je me répète cette phrase-là en boucle, moi ^^). En acceptant l’imperfection de mon existence et en faisant des choix (« Amour, gloire et beauté » : peux-t-on vraiment tout avoir dans la vie ? Ce serait utopique de le croire : du coup, qu’est-ce qui est vraiment important pour moi ?), j’ai trouvé une certaine sérénité, une paix intérieure, un juste équilibre car l’insatisfaction ne me mènera jamais sur le chemin du bonheur.
A bon entendeur…
Et toi, as-tu une vie parfaite? Si non, quelles sont tes priorités?

 

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Chiffons and co, blog Lifestyle, Mode, Voyage

Le blog avec une pincée de décoration, un zeste de tourisme, une larme de mode, un soupçon de lifestyle et quelques tranches d'humeur (humour)...Garanti sans colorant, ni conservateur ^^

  • tania

    oh la la tu me laisses 5h et je reviens
    ton article fait échos à ma réflexion du moment
    j adore cet article
    je ne sais pas si tu te souviens j avais écrit un article y a quelques mois que personne n avait compris
    j ne suis pas encore prête à nommer les choses clairement
    mais en gros j pense que mettre son job au coeur de tout n est pas le truc qui m convient
    je n y ai jamais cru mais ce que j ai vu ces dernières années n m y incitent plus
    pr bcp d employeurs
    nous sommes justes des citrons à presses pr sortir le meilleur jus
    pire que des chaussettes qu on laisse d côté
    j aurais tant de choses à dire
    faudrait que je revienne pr t donner la suite
    contente de voir que tu trouves ton équilibre
    j en aurais des choses à raconter sur le travail si tu savais j en vois des choses mais pr ça il m faudrait une 4è vie
    pas évident de trouver l harmonie mais je suis loin d avoir la vie parfaite
    je serais plutôt dans les gens qu on regarde avec pitié
    pas marié sans enfants à mon âge
    bon j arrête là sinon

    18 octobre 2017 at 6 h 33 min Répondre
  • zenopia

    Ma vie rêvée ? rien de bien « grandiose »… une vie simple, avec ceux que j’aime et étant le plus zen possible… C’est déjà super bien je trouve 🙂

    18 octobre 2017 at 9 h 16 min Répondre
  • Jo Ridee rieuse

    ça me parle, cet article. Comme toi, il y a bien longtemps que j’ai abandonné l’idée de l’épanouissement au travail.Et je vois bien que c’est pareil pour mes filles quand elles me racontent les aberrations, les ordres, contre-ordres et les mesquineries (genre le chef qui s’approprie les idées des autres)
    Moi non plus, je n’avais pas l’énergie et l’âge de trouver une autre voie.
    Et puis, le licenciement est arrivé avant l’été. Finalement, c’était le coup de pied aux fesses qui me manquait pour faire autre chose.
    J’ai trouvé du plaisir à rester un peu à la maison, à lire, marcher, photographier, lire des blogs et être satisfaite un soir d’avoir juste changé un cadre de place dans la maison.
    Par contre, impossible de rester devant la télé. Je voulais regarder des séries mais j’ai abandonné l’idée, je regarde la télé uniquement le soir et pas toujours !
    Les amis, relations, me disaient – Ma pauvre, au chômage à 56 ans, quelle galère ?
    Et bien non, pas tant que ça.
    J’ai la chance d’avoir un versement tous les mois de Pôle Emploi, ce n’est pas négligeable. Je voulais prendre mon temps, me former, avant de prendre le premier poste venu.
    J’ai rencontré des gens qui me décourageaient, mais j’ai eu, également, des pistes intéressantes. Je vais faire un bilan de compétences qui me donnera peut être des pistes insoupçonnées à explorer. Quand j’ai parlé de mon blog, au premier entretien, on m’a dit – Mais pourquoi n’avez vous pas cherché un travail dans l’écriture ? … Comment dire, parce que c’est aléatoire, parce que ça ne remplit pas le frigo et surtout parce que je ne sais rien faire d’autre qu’aligner quelques phrases dans un billet.
    On verra bien où tout cela me mènera.
    Tout ce travail, ce cheminement permettent d’entrevoir le bonheur. Bon, de temps en temps, il repart et nous laisse nos doutes ! Mais on gagne en sérénité et c’est bien là l’essentiel

    18 octobre 2017 at 12 h 23 min Répondre
  • christine

    Petite, on rêvait d’avoir tel job, une belle maison…
    La réalité est tout autre. j’ai un job qui me plait, je suis mon propre patron mais j’ai une pression terrible, entre TVA, RSI à payer ainsi que moi ; parfois on s’oublie.
    Pour la maison, elle est au bord de la mer mais avec des travaux.
    Pour être heureuse, j’ai des bonheurs simple, profiter des siens, de la nature et ne pas avoir de rêves démesurés.
    Comme tu dis, avoir des exigences à la baisse.

    18 octobre 2017 at 17 h 06 min Répondre
  • PetitDiable

    Comme ton article me parle! J’espère qu moins qu’à) défaut d’aimer ton travail, tu n’y es pas non plus malheureuse…

    19 octobre 2017 at 12 h 29 min Répondre
  • Koalisa

    Ma vie de rêve, c’est maintenant, avec ceux que j’aime. Il faut saisir le bonheur dans tous les petits instants que la vie nous offre , plutôt que de courir après un idéal, c’est en tout cas ce que j’essaie de faire…

    19 octobre 2017 at 17 h 10 min Répondre
  • Nina

    Ma vie de rêve est très simple, avoir un toit sur la tête, un travail, être en bonne santé ainsi que ses proches et savourer tous les petits moments qu’on a tous dans une journée,
    J’aime ce genre d’articles,
    Bisous

    20 octobre 2017 at 10 h 52 min Répondre
  • chocoladdict

    vaste sujet !
    je pense comme toi que bien peu de monde fait un travail qui les éclate réellement et même si je suis beaucoup plus épanouie en freelance qu’avant, je ne fais pas vraiment ce que j’aimerais réellement mais c’est notre système de pensée qui met le travail au centre de tout, cela peut être discuté : )

    pour que je sois bien, il faut que les gens autour de moi soient bien et plus largement je ne crois pas vraiment à l’état de bonheur permanent (ou alors il faut se boucher très fort les oreilles et faire abstraction de la mort, de la maladie, de la pauvreté, de la guerre, etc..) mais plutôt à des petits bonheurs qu’on prend au vol (et il y en a plein )

    20 octobre 2017 at 17 h 52 min Répondre
  • claude arlette

    Avoir une vie de rêve ce serait ne plus rien avoir a rêver ….! en tout cas c’est un sujet qui porte a réflexion…
    bon week end ..;enchante nous de photos , elles respirent le bonheur

    21 octobre 2017 at 0 h 37 min Répondre
  • MadeleineMiranda

    Hello! Je suis heureuse de la vie que je me suis crée à Londres, surtout depuis que j’ai terminé le combo boulot à temps plein + études. Pour que ce soir encore mieux j’aimerais avoir plus de temps pour moi: terminer avant 19hrs, avoir plus de 25 jours de vacances par an ou travailler 4 jours sur 5. Mais sinon j’ai toujours été heureuse de ce que j’ai. Bises!

    22 octobre 2017 at 13 h 07 min Répondre
      • MadeleineMiranda

        Je commence à 9hrs et on peut prendre 30/45 min pour le déjeuner 🙂

        22 octobre 2017 at 18 h 21 min Répondre
  • Far East Tour Voyage Vietnam

    Bravo. Soyez heureux dans les rêves ! Bonne continuation !

    24 octobre 2017 at 6 h 04 min Répondre
  • voyelle

    superbe ton article Arwen… et quel travail sur toi dis donc, je suis admirative !!!!! Comme tu dis le bonheur est à portée de main,sert à rien de courir après, on s’épuise, on stresse…on cueille chaque jour une part de bonheur et c’est déjà ça. La vie parfaite ça n’existe pas, il y a des impairs comme tout à chacun, être heureuse et voir les gens que l’on aime heureux c’est déjà énorrrrrrrrrrme quant à ma priorité et non mes priorités, je dirai que c’est ma vie professionnelle et ça je sais que tu le comprendras. J’ai énormément donné professionnellement dans la transmission aux autres et maintenant je veux et je dois penser à moi, il est temps. C’est viscéral et vital pour moi désormais 🙂 Carpe Diem Arwen 😉

    24 octobre 2017 at 18 h 38 min Répondre
  • Laurence

    J’aime beaucoup cet article ! Il trouve un échos en moi … devenir sage et se contenter de peu ça s »apprend, je valide tout ce que tu as dit Arwen. Bravo !!! Bises et bon WE

    27 octobre 2017 at 17 h 00 min Répondre
  • Sylvie, Enfin moi

    Sage philosophie de vie à part que pour ma part je continue à rêver et cela fait du bien
    Bisous

    30 octobre 2017 at 21 h 59 min Répondre
  • Jolies lueurs

    Coucou !

    Chouette article, qui donne à réfléchir sur le sens de la vie…en tout cas, le sens qu’on lui donne.
    Je suis d’accord sur le fait qu’il faut saisir l’instant présent, avant tout, et sa satisfaire des petites choses anodines du quotidien, les petits bonheurs. Des fois, un petit bonheur c’est un carré de chocolat, un sourire, un câlin, une chanson… Si simple et pourtant, mis bout à bout, c’est ce qui fait la différence 🙂

    1 novembre 2017 at 15 h 04 min Répondre
  • matchingpoints

    Un bel article et une belle conclusion – c’est vrai, la sérénité aide à trouver « sa » vie idéale. Mais encore faut-il la trouver. C’est en avançant dans la vie et en relativisant pas mal de choses, que l’on arrive à trouver ses petits bonheurs.

    1 décembre 2017 at 9 h 03 min Répondre

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