Juin fut le mois de la reprise, du déconfinement, de la remise en route « de la machine ». Et ce ne fut pas facile pour tout le monde, crois-moi et je sais de quoi je parle vu que je faisais partie de ceux qui ont repris le chemin du bureau, après 2 mois et demi de télétravail, même si j’ai conscience que certains ne se sont jamais arrêtés, eux.

Puis, il a fallu ensuite rapatrier mon grand fils de Nice et faire nos adieux à cette jolie ville, puisqu’il ne poursuivra pas ses études (WTF).

Quoiqu’il en soit, Juin ne se résume pas qu’à ça, heureusement. Nous sommes en effet retournés au restaurant, avons fêté la fête des mères et des pères (et mangé les gourmandises qui vont avec) et marché. J’ai aussi fait un peu de shopping, lu des livres, vu une série et repris l’écoute de podcasts que je n’écoute que sur mon trajet de retour du travail, donc pas pendant le télétravail…

Et puis, j’ai réfléchi à notre nouvelle vie (j’y pense d’ailleurs tout le temps) : j’aimerais tellement que tout ne soit pas aussi compliqué et que l’on puisse la mettre en place d’un claquement de doigts, mais ça, bien sûr, ça ne va pas être possible !

Série

Ce mois-ci, je ne parlerais que d’une seule série, mais quelle série…. Il s’agit de « Snowpiercer » . Après le film « Snowpiercer, le Transperceneige » de  Bong Joon Ho, en 2013, que je n’ai jamais vu, voici la série qui me plait beaucoup malgré sa noirceur. Il faut savoir qu’à l’origine, c’est l’adaptation d’une bande dessinée française que je ne connaissais pas non plus (en même temps, je ne connais strictement rien aux BD). Les acteurs, quant à eux, sont vraiment parfaits, spécialement les 2 rôles principaux : Jennifer Connelly et Daveed Diggs ! Quant à cette histoire post-apocalyptique, elle est glaçante dans tous les sens du terme, mais tient vraiment en haleine (je ne comprends pas du tout les commentaires sur Allociné, comme quoi les goûts et les couleurs….).

Synopsis :

 Sept ans après que le monde soit devenu une vaste étendue glacée, les survivants ont trouvé refuge dans un train en perpétuel mouvement. Composé de 1001 wagons, l’engin fait le tour du globe à toute vitesse. A bord, la guerre des classes, l’injustice sociale et la politique interne sèment le trouble.

 Source 

Shopping

J’ai fait le plein de bougies chez mon fournisseur, dorénavant, officiel, au Castellet village (même si je les utilise plutôt en hiver). J’ai été tentée par « feuille de figuier », « Lavande » et « Amour secret ». Pour celles qui ne sont pas de la région, il est possible de commander via son site internet . Bref, je consomme local, autant que possible et en tout cas, français !

Sinon, j’ai aussi commandé un herbier via Etsy à @voleuse.de.fleurs, qui va sans doute rejoindre mon mur de cadres, dans notre chambre. Et j’ai investi dans un joli porte-photos /porte-cartes shoppé sur le site de La Redoute, que j’ai accroché à la porte de mon bureau.

J’ai aussi flashé sur une bague d’oreille créée par Victoria Grillo de « Oh, mine« . Victoria est une créatrice de bijoux niçoise dont les jolies créations sont donc fabriquées en France, de manière artisanale dans une démarche durable, à partir de métaux recyclés ou labellisés Fairmined. Je suis vraiment fan de son travail.

Sorties au restaurant.

Ah, ben, ça nous avait manqué finalement de mettre les pieds sous la table et de déjeuner dehors. Notre première sortie a eu lieu à Roche Belle, à La Ciotat, restaurant que j’apprécie vraiment beaucoup, d’autant plus que je n’avais pu m’y rendre pour mon anniversaire (le 21 avril). Comment résister à un déjeuner en terrasse, à l’ombre, au chant des cigales ?

Quant au deuxième, changement total puisqu’il s’agissait d’un restaurant de cuisine libanaise où nous nous sommes rendus pour la fête des pères car l’homme est fan de cette cuisine méditerranéenne (bah, moi aussi, mais ce n’est pas ce type de restaurant que je mettrais dans mon top 3).
Et toi, es-tu retournée au restaurant ???

Sinon, niveau gourmandise, nous ne nous sommes pas arrêtés là, puisque pour chacune de nos fêtes, nous avons commandé l’entremet correspondant chez mon pâtissier Matyasy, à savoir une pavlova revisitée pour la fête des mères et une tarte pistache /fraises pour la fête des pères. J’ai adoré ma pavlova car j’ai très peu l’occasion d’en manger vu que l’homme n’en a jamais fait et qu’il est assez rare d’en trouver chez les pâtissiers.

En vrac….

Nous avons marché, mais pas tant que ça finalement (il commence à faire très chaud…), notamment au Pradet, au Broussan, à Toulon et à la presqu’île de Giens. J’ai admiré les jolies fleurs de saison comme la nigelle (fleur sauvage) et la passiflore (qui ne l’est pas…sauvage!).

Le 27 juin, nous sommes partis pour une petite semaine au Pays Basque (l’occasion aussi de faire du repérage et de nous imaginer éventuellement y vivre, au Pays Basque ou dans le sud ouest en général), petite semaine magique qui fera, bien sûr, l’objet d’un article :  premières vacances post-confinement, ce n’est pas rien quand même !

Ayant besoin d’un nouveau chez moi (virtuel autant qu’IRL), d’un nouveau souffle pour aborder cet après (je ressens comme une urgence à concrétiser les projets qui me tiennent à coeur car comme tu le sais, tout peut basculer très vite…), j’ai demandé à Claire la Paillette si elle pouvait me créer une nouvelle bannière et voilà, c’est chose faite ! Ma nouvelle bannière, en place depuis une dizaine de jours, correspond plutôt bien à ce que j’aime, à mes aspirations bucoliques, tu ne trouves pas?

Et toi, des jolies choses en juin ???